Organes: Poumon, type non à petites cellules
Regeneron Pharmaceuticals MAJ Il y a 4 ans

Étude R2810-ONC-1763 : étude de phase 2 randomisée comparant du cemiplimab à dose élevée et standard par rapport au cemiplimab à dose standard en association avec de l ’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon métastatique non à petites cellules précédemment traité par un traitement de deuxième intention. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules représente 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Fumer est le facteur de risque le plus important du développement du cancer du poumon. Le cemiplimab est un anticorps monoclonal en cours de développement en tant que médicament destiné au traitement du cancer de la peau à cellules squameuses. L'ipilimumab est un anti-CTLA-4, un anticorps qui contribue à renforcer le système immunitaire en renforçant la fonction et la croissance des lymphocytes T. L’objectif de cette étude est de comparer du cemiplimab à dose élevée et standard par rapport au cemiplimab à dose standard associé avec de l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon métastatique non à petites cellules traité précédemment par un traitement de deuxième intention. Les patients seront répartis aléatoirement en 3 groupes selon la dose recommandée. Les patients du premier groupe recevront du cemiplimab à dose standard. Les patients du deuxième groupe recevront du cemiplimab associé avec de l’ipilimumab à dose standard. Les patients du troisième groupe recevront du cemiplimab à dose élevée. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 31 mois.

Essai clos aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 4 ans

Étude I8S-MC-JUAB : étude de phase 1 visant à évaluer la sécurité du LY3124996, un inhibiteur de la voie de signalisation ERK1/2, administré seul ou en association avec d’autres agents anticancéreux chez des patients ayant un cancer de stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, organes… Ce sont les plus fréquents. La majorité des cancers suivent les mêmes étapes mais à des vitesses variables. Les cellules cancéreuses sont initialement localisées mais peuvent se propager à d’autres parties du corps formant des métastases. On peut décrire l’évolution du cancer par différents stades en fonction de l’étendue et du volume de la tumeur. Il existe des moyens pour interrompre l’enchaînement des étapes du cancer. Le LY3124996 est un médicament expérimental inhibant une voie de signalisation dans la cellule cancéreuse permettant sa survie. Des études précliniques ont montré que l’association du LY3124996 avec d’autres agents anticancéreux était bien tolérée et pouvait avoir des résultats potentiels. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité du LY3124996 administré seul ou en association avec d’autres médicaments anticancéreux chez des patients ayant un cancer de stade avancé. Les patients seront répartis dans des groupes et recevront du LY3124996 tous les jours, seul ou en association avec de l’abemaciclib, 2 fois par jour, ou avec du nab-paclitaxel et de la gemcitabine 1 fois par semaine. Ces traitements seront répétés toutes les 3 semaines. Un autre groupe de patients recevra du LY3124996 en association avec du midazolam toutes les 2 semaines lors de cures de 3 semaines (sauf la 1re cure qui durera 4 semaines). Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai ouvert aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 4 ans

Étude KEYNOTE 287 : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’abémaciclib en association au pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules au stade IV ou un cancer du sein positif pour le récepteur hormonal et négative pour HER2. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Le cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade IV est rarement opérable ou peu traité par radiothérapie, donc les traitements principaux sont la chimiothérapie et/ou l’immunothérapie. Environ 75% des patientes ménopausées ayant un cancer du sein sont positives pour le récepteur hormonal, ce qui les rend sensibles à l’hormonothérapie. Malgré l’efficacité de l’hormonothérapie, des nombreuses tumeurs positives pour le récepteur hormonal présentent une résistance à cette thérapie. Un tiers des patientes ayant un cancer du sein primaire positif pour le récepteur hormonal et normal pour HER2 présente un haut risque de récidive après avoir été traitées par une chimiothérapie néoadjuvante. L’abémaciclib est une nouvelle chimiothérapie qui inhibe la voie du cycle cellulaire stimulé par les oestrogènes et par conséquent elle inhibe la croissance des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’abémaciclib en association au pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules au stade IV ou un cancer du sein positif pour le récepteur hormonal et négatif pour HER2. Les patients seront répartis en 3 groupes selon leur type de cancer. Les patients du premier groupe seront les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules muté pour KRAS et positif pour PD-L1. Les patients du deuxième groupe seront les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules squameux. Les patients du troisième groupe seront les patients ayant un cancer du sein métastatique positif pour le récepteur hormonal, négatif pour HER2. Tous les patients recevront de l’abémaciclib deux fois par jour, tous les jours associé à du pembrolizumab toutes les 3 semaines. Le traitement est répété tous les 21 joursjusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant environ 18 mois.

Essai clos aux inclusions

Étude FLARE : étude randomisée de phase 3 comparant un traitement de deuxième ligne par chimiothérapie associée ou non à l’Erlotinib, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules avec résistance secondaire au TKI-EGFR. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’un traitement de deuxième ligne par une chimiothérapie associée ou non à l’erlotinib, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules avec résistance secondaire à l’inhibiteur de tyrosine kinase de l’EGFR (TKI-EGFR). Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie d’induction à base de pemetrexed associé au cisplatine ou au carboplatine AUC 5 le premier jour de la cure, OU à base de gemcitabine le premier et le huitième jour de la cure, associée au cisplatine le premier jour de la cure, OU à base de gemcitabine le premier et le huitième jour de la cure associée au carboplatine AUC 5 le premier jour de la cure. Le traitement d’induction est administré en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines, pendant trois mois. Les patients répondants au traitement, recevront une chimiothérapie de maintenance à base de pemetrexed en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines. Les patients du deuxième groupe recevront la même chimiothérapie d’induction que dans le premier groupe, associée à l’erlotinib, administré selon les mêmes modalités qu’avant l’inclusion dans l’étude. Les patients répondants au traitement, recevront la même chimiothérapie de maintenance que dans le premier groupe, associée à l’erlotinib, administré à la même dose que pendant l’induction. Le traitement de maintenance sera poursuivi jusqu’à progression ou toxicité dans les deux groupes de traitement. Les patients seront revus après la fin de la chimiothérapie d’induction, puis toutes les 9 semaines pendant le traitement de maintenance, et ensuite tous les 3 mois. Le bilan de suivi comprendra un examen clinique, un examen radiologique (scanner et/ou IRM) et un examen biologique (prélèvement sanguin). Les patients complèteront notamment un questionnaire de qualité de vie.

Essai clos aux inclusions
Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans
Essai ouvert aux inclusions

Étude ACE-Lung : étude de phase 2, randomisée évaluant l’efficacité et la tolérance d’un traitement de première ligne par afatinib associé ou non au cétuximab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, EGFR muté. Les cancers bronchiques non à petites cellules représentent environ 75 à 80 % de l'ensemble des cancers du poumon. Une mutation de l’EGFR est associée à une croissance tumorale incontrôlée, ce qui peut accélérer la progression du cancer. Les cellules tumorales porteuses de mutations de l’EGFR sont très sensibles aux traitements anticancéreux basés sur des thérapies ciblées comme l’afatinib. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la toxicité de l’association d’une chimiothérapie par l’afatinib avec le cetuximab en comparaison à l’afatinib seul chez des patients ayant des cancers bronchiques non à petites cellules avec une mutation EGFR. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront de l’afatinib seul par voie orale tous les jours pendant 9 mois ou jusqu’à progression de la maladie. Les patients du deuxième groupe recevront de l’afatinib par voie orale tous les jours pendant 9 mois ou jusqu’à progression de la maladie plus du cetuximab par voie intraveineuse toutes les deux semaines pendant 6 mois à partir du quinzième jour. Les patients seront suivis toutes les 8 semaines jusqu’à 12 mois puis toutes les 12 semaines. Le bilan de suivi comprendra un scanner du thorax et de l’abdomen, une répétition des examens pour l’évaluation des lésions mesurables initiales, un prélèvement sanguin et un questionnaire de qualité de vie à chaque visite.

Essai ouvert aux inclusions
Essai clos aux inclusions